Comité Alpes
Caisses à Savon
Témoignages de nos pilotes
Melvin Brunet,
un passionné de vitesse
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Comment as-tu découvert la caisse à savon ?
J’ai découvert la caisse à savon dans un petit village près de chez moi, lors d’une fête de village. C’est là que j’ai vraiment découvert ce sport.
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Depuis combien de temps pratiques-tu ?
J’ai commencé la caisse à savon à l’âge de 12 ans.
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Quel est ton meilleur souvenir sur une course course ?
Ma course préférée a été celle de St-Romain-de-Surieu. J’ai pris énormément de plaisir sur une piste magnifique, digne d’un championnat de France, paraît-il.
Cerise sur le gâteau : je finis 6ᵉ au scratch et je gagne dans ma catégorie.
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Qu’est-ce que tu aimes le plus au comité Alpes de Caisse à savon ?
J’aime beaucoup la vitesse et la compétition, mais malgré tout, je trouve qu’il y a beaucoup d’entraide entre les participants, ce qui n’est pas toujours le cas dans tous les sports automobiles.
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Que dirais-tu à quelqu’un qui hésite à participer ?
De venir faire une course ! C’est ce que j’ai fait, et depuis, j’adore ça.
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Comment t'es tu procuré ta caisse à savon ?
J’ai d’abord acheté ma première voiture à un autre pilote. C’était une petite voiture qui m’a permis de débuter facilement. Ensuite, j’ai acheté une voiture plus rapide et performante, une Sejkora (voiture d’origine tchèque), également à un autre pilote. C’est là que j’ai vraiment commencé à rouler vite !
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En un mot, que représente pour toi la course de caisses à savon ?
Passion !
Aymy et Grégory Papin une fille et son papa qui partage la même passion, la compétition !
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Comment avez vous découvert la caisse à savon ?
Grégory : C’est parti d’une blague avec mon frère. Nous avons fabriqué une caisse à savon folklorique, “la Batmobile”, pour participer à une course près de chez nous. C’est ainsi que nous avons commencé l’aventure en catégorie folklorique… J’ai ensuite acheté un kart pour passer en sport !
Aymy : J’ai découvert la caisse à savon grâce à mon père, qui m’a fait essayer son kart. J’ai tout de suite accroché !
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Depuis combien de temps pratiquez-vous ?
Grégory : 3 ans, et je pense ne pas m’arrêter de si tôt…
Aymy : Pour moi, ça fait 2 ans.
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Quel est votre meilleur souvenir sur une course course ?
Aymy : Mon meilleur souvenir est cet été, au championnat de France. J’ai vu tout mon comité là pour moi, m’encourager comme une vraie famille, et j’ai su que j’allais réussir. Et voilà, maintenant je suis championne de France ! Comme quoi tout peut arriver.
Grégory : Mon plus beau souvenir est ma victoire à la Coupe AURA. Quand personne ne te voit venir, c’est la plus belle des satisfactions !
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Qu’est-ce que vous aimez le plus dans cette activité ?
Aymy : Les applaudissements de chacun lors des remises de prix et le fait qu’il n’y ait aucun jugement !
Grégory : Les pilotes, le partage des connaissances, la bonne humeur, les rires, les sensations fortes à chaque descente, et aussi voir son enfant s’éclater et s’épanouir.
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L'ambiance est bonne sur les courses ?
Aymy : L’ambiance est très spéciale. Nous ne sommes pas que des pilotes, nous sommes vraiment proches, comme une famille de cœur, avec qui tu peux rire de tout et n’importe quoi. Ils t’aident à prendre confiance pour les descentes difficiles.
Grégory : C’est comme une deuxième famille. On mange ensemble, on partage plein de souvenirs…
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Que diriez-vous à quelqu’un qui hésite à participer ?
Aymy : Cela aide à affronter les peurs de la vitesse, on apprend les bonnes trajectoires pour gagner du temps. Et puis, ça occupe vraiment les dimanches !
Grégory : Je dirais qu’on ne peut pas miser seulement sur son talent. Mais oublie l’idée de n’avoir aucune chance… vas-y, fonce !
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En un mot, que représente pour vous la course de caisses à savon ?
Aymy : Le plaisir
Grégory : Passion
